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Historique de cette magnifique auto

Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    FORUM -> La Golf 5 et ses dérivés (jetta) 2003 - 2008 -> Vous et votre Golf 5 / Jetta
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Moot 44
Golfiste acharné
Golfiste acharné


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Département: 44
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MessagePosté le: Dimanche 26 Avril 2009, 22:50    Sujet du message: Historique de cette magnifique auto Répondre en citant

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En Aout 2003, présentation à la presse de la Golf 5 à Wolsburg.
Septembre 2003, la Golf 5 est presenté au salon de Francfort.
Decembre 2003, Arrivée de la Golf 5 en France.

Fevrier 2005, La Golf GTI est de retour. Elle est disponible en trois et cinq portes et se caractérise par un look sportif, aussi bien à l’intérieur qu ’à l’extérieur. 3 couleurs sont disponibles : noire, blanc et rouge.
Son moteur à injection directe essence (technologie FSI) développe 200ch (147 kw) de 5100 à 6000 tr/mn.

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La Golf 5 GTI se distingue:

à l'exterieur par :
- Une grille de radiateur noire en nid d'abeille entouré d'une bande métallique rouge.
- un spoiler avant spécifique intégrant des feux anti-brouillard.
- un becquet arrière et une double sortie de pot d’échappement.
- des jantes alu à 5 branches de 17 pouces de diamètre.
- le monogramme GTI sur le hayon et la calandre.
- des amortisseurs permettant d'abaissée la caisse de 15 mm.

à l'interieur par :
- un volant en cuir à 3 branches plat dans le bas de son cercle
- des sièges baquets avec les rebords en cuir et l'habillage du centre en tissu écossais (référence à la "One").
- Les hauts dossiers avec appuie-tête réglables intégrent le logo GTI.
- le pommeau de levier de vitesse le pédalier en alu.

De serie, elle dispose de l’air conditionné, l’ordinateur de bord multifonctions, le rétroviseur intérieur avec fonction jour-nuit automatique, capteur de pluie, fonctions coming et leaving home, l’indicateur de pression des pneus.
Au niveau sécurité, le correcteur électronique de trajectoire (ESP), les appuis-tête actif à l’avant, les trois appui-têtes à l’arrière et six airbags sont présents.

Mars 2005 : Une nouvelle Golf arrive, elle est plus longue et plus haute, c'est la Golf Plus.

Septembre 2005:La R32 la plus bestiale de la série

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La R32 abrite sous son capot le même moteur que la première du nom à savoir un V6 3.2 de 250 ch (au lieu des 241 ch en 2000). Celui-ci est couplé à une boîte mécanique à 6 rapports ou en option avec la boite de vitesses DSG. Pas de changement au niveau de la transmission puisque la R32 reste fidèle aux quatre roues motrices avec le dispositif 4Motion.

La tenue de route est assurée par des jantes 18 pouces, une hauteur de caisse rabaissée de 20 mm et des disques de frein mesurant 345 mm à l'avant et 310 mm à l'arrière dont les étriers bleus transparaissent aux travers des rayons.
Comme on pouvait s'en douter les performances sont de tout premier plan avec une vitesse maximale bridée à 250 km/h et un 0 à 100 km/h D.A abattu en 6.2 secondes contre 6.5 s auparavant.

Un look facilement identifiable
La famille Golf est désormais bien pourvue. Après la berline traditionnelle (3 et 5 portes), la Golf + (déclinaison monospace), c'est au tour de la R32 d'entrer en scène.

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Chacun de ces différents membres arbore une personnalité bien spécifique et c'est le cas également de la R32. Par rapport à la GTI qui représentait jusqu'alors le modèle le plus sportif avec 200 ch, la R32 est plus bestiale avec une grande prise d'air sous la plaque d'immatriculation avant complétée par deux latérales. Pour se différentier des autres Golf, la R32 est équipée de gaines d'aération peintes intégralement de chaque coté du bouclier qui se poursuivent dans la jupe latérale jusqu'au pare-chocs arrière. Ce dernier intègre les deux sorties d'échappement polies installées en position centrale. La touche finale est apportée par un becquet de hayon que certains trouveront un peu "too much". Ensuite, tout est question de goût.
L'habitacle profite d'un traitement typique à la R32 avec un tableau de bord inédit, des sièges baquets et un pédalier alu. Sportivité ne rime pas avec dénuement. Pour preuve, la R32 soigne ses occupants avec 6 airbags, l'ABS, l'ESP, les phares bi-xénon, la climatisation automatique et le système audio avec changeur 6 CD et 10 HP.
Aucune autre information n'a filtré pour l'instant des bureaux de Wolfsburg. Pour en savoir plus et juger sur pièce, il faudra attendre le 15 septembre 2005 à Francfort la 1ere sortie officielle de la Golf R32.

2006: la GTI souffle ses 30 bougies et ça se remarque...

Déjà 30 ans ! Lorsqu'en 1976 Volkswagen dévoila la Golf GTI 1600 Mk1, elle allait vite imposer un " label " sportif populaire. Ce que les Simca 1000 Rallye, NSU 1000 TT, Renault 8 Gordini, Ford Cortina Lotus Mk1, et autre Opel Kadett GT/E n'avaient pas réussi à matérialiser auprès du grand public, la Golf y parvint. Pendant 20 ans le terme de " GTI " était devenu connu de tous et surtout synonyme de petites bombes sportives. Depuis, les générations de Golf se sont succédées et à chaque reprise, Volkswagen a apporté sa solution GTI. Certes, lors de la Golf 4 GTI, on pouvait craindre le pire avec l'adoption du label GTI par une " TDI ". Mais heureusement, la GTI repris 30 ch de plus (pour passer à 180 ch) et la Golf R32 et son V6 mélodieux remis les pendules à l'heure. Et depuis l'arrivée de la Golf 5 GTI, Volkswagen s'est repositionné dans le peloton de tête des compactes sportives aux côtés de la Renault Mégane RS, de la Seat Léon Cupra Mk2, de la Ford Focus ST 225 et de l'Audi S3 Mk2. Avec son deux litres TFSI de 200 ch, la Golf GTI Mk5 apporte une mécanique qui se révèle certainement être comme le meilleur quatre cylindres turbocompressé de sa catégorie. Mais pour commémorer le 30e anniversaire de la Golf GTI, c'est dans la Veltins Arena de Schalke à Gelsenkirchen, et devant des milliers de conducteurs de Golf venus de toute l'Europe, Volkswagen a imaginé une série spéciale et limitée. La France en a réservé que 150 exemplaires, toutes vêtues de rouge avec une robe 5 portes exclusivement, avec la boîte DSG. Et sous le capot, le moteur a gagné 30 chevaux au passage, permettant ainsi à la Golf GTI de rester dans la course face aux dernières venues (Mazda 3 MPS, Renault Mégane RS R26…).

DESIGN

. L'Edition 30 présente une particularité spécifique à la France puisque sa configuration est figée. Si l'acheteur allemand peut opter pour une 3 ou 5 portes et retenir la transmission de son choix, Volkswagen France a préféré l'exclusivité de l'unicité. Un choix qui peut être discutable mais permet au moins d'identifier immédiatement une Edition 30 en France des autres GTI standards. L'Edition 30 a donc chez nous une teinte rouge (comme en Allemagne) de belle facture puisque légèrement foncé évitant ainsi la faute de goût. Les jantes 18 pouces "Detroit" reprises de la Golf GTI sont désormais à voile noir mat du plus bel effet mettant mieux en relief la teinte de la carrosserie. Derrière ce " voile noir " on discerne les étriers de freins peints en rouge. Décidément, c'est une mode qui est en passe de se généraliser sur les modèles à tendance sportive. Les 5 portes présentent au moins l'avantage d'être pratiques pour les pères de familles qui n'ont pas réussi à imposer les trois portes à leur ménage, à défaut de faire sport. Mais ne boudons pas notre plaisir car Volkswagen a su peindre couleur caisse les bas de caisse et bas de bouclier, mettant ainsi plus en relief la calandre Single Frame et les multiples grilles en plastiques noirs. Si globalement la Golf GTI Edition 30 reste discrète, couleur exceptée, elle ne dupe pas les passants qui voient tout de suite en elle une GTI pas comme les autres. L'habitacle gratifie toujours son conducteur d'une multitude de réglages et d'une position de conduite idéale. Il est toujours possible de rouler le postérieur au plus près du sol et non pas surélevé comme dans cette " tendance monospace ". La sellerie mixte cuir et tissu à carreaux Interlagos reprend les motifs des premières Golf GTI et l'ensemble est sympa et original. Bien calé dans le baquet très confortable, et offrant un bon maintien latéral, on peut alors poser la main droite sur le levier balle de golf de la boîte DSG. Encore un hommage à la première Golf GTI ! Pour le reste, le mobilier face à vos yeux est désormais connu avec une finition globalement très bonne dans la catégorie, hormis quelques plastiques durs de bas de planche de bord. Le résultat, sans atteindre celui d'une Audi S3 (bien plus chère cependant) fait vite regretter le propriétaire d'une Mégane RS de ses plastiques bons marchés. Heureusement que la française se rattrape ailleurs. L'équipement de série est fourni et suffisant pour les plus exigeants (climatisation automatique, vitres électriques, radio CD RDS, régulateur de vitesse,…), sachant qu'après tout, l'essentiel est de manier le volant aux surpiqûres rouges. Comme toutes les GTI modernes, l'instrumentation est d'une pauvreté désarmante, car après tout, l'évocation et l'ego du pilote sont également mis en valeur par les multiples cadrans ronds qui semblent n'être compris que par les amateurs éclairés…

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MOTEUR

Avec ses cousines qui ont pris les devants en puissance pure (265 ch pour l'Audi S3 Mk2, 240 ch pour la Seat Léon Cupra), il était après tout logique que la Golf GTI puisse elle aussi prendre quelques canassons supplémentaires. De quelques chevaux, il faut plutôt parler de dizaines dans le cas présent puisque de 200 ch, la Golf GTI Edition 30 passe à 230 ch à 5500 tr/mn. Ce deux litres à injection directe et turbocompresseur, s'il est mis à toutes les sauces désormais dans la gamme VAG en remplacement progressivement de l'ancien 1,8 litres turbo essence, ne reprend pas tel quelle les éléments des plus puissantes du groupe. On notera ainsi que si la Seat Léon et l'Audi S3 Mk2 partagent bon nombre d'éléments mécaniques commun à commencer par son turbocompresseur Borg Warner K04, la Golf GTI Edition 30 conserve un Borg Warner K03 (complétée d'un échangeur air/air) mais dont la pression de suralimentation a été augmentée pour passer à 1,7 bars. Avec une telle mécanique dont le brio n'est plus à démontrer la Golf GTI Edition 30 affole les chronos : 245 km/h en vitesse maxi (soit +10 km/h par rapport à la GTI "standard"), la borne kilométrique est franchie en 26,2 secondes (-1 sec. par rapport à la GTI) et le 0 à 100 km/h en 6,7 secondes. La boîte DSG (imposée) à 6 rapports et son astucieux système à double embrayage pour éviter les ruptures de charge lors des changements de rapports favorise également les performances pures. Si la boîte DSG est en effet efficace et très intéressante techniquement, on reste dubitatif sur son usage réellement sportif. En effet, après avoir joué quelques kilomètres avec les changements de rapports avec le levier (les palettes sont trop petites derrière le volant pour les utiliser pleinement), on opte finalement pour le mode automatique, de préférence en mode sport. Sur ce plan, il est dommage d'avoir imposé la boîte DSG en France pour disposer des 30 chevaux supplémentaires de l'Edition 30, alors que les autres pays pouvaient recevoir la boîte mécanique à 6 rapports. Bien calé dans le siège, les deux mains totalement dévouées au " cerceau " (faute d'une transmission mécanique manuelle), on ne peut que louer la disponibilité de cette mécanique ! Quelque soit le régime moteur, le deux litres pousse à chaque instant et surtout n'offre aucun temps de réponse. Et pour un " simple " quatre cylindres, le son est très grisant avec un grognement qui vous prend aux tripes.

SUR LA ROUTE...

Lorsque l'on regarde du côté de la marque au losange, et que l'on voit le résultat des multiples évolutions châssis en fonction des séries spéciales, surtout avec la dernière RS R26 et son différentiel autobloquant à glissement limité, on se frotte les mains face à la Golf GTI Edition 30. Pourtant, l'heure n'est pas à l'euphorie sous les dessous de cette série spéciale de Wolfgsburg, puisque tout simplement le châssis est rigoureusement identique à celui d'une GTI standard avec l'option jantes de 18 pouces. Ces dernières sont chaussées de très performants Bridgestone Potenza RE050 2 225/40 R18 aux quatre roues. Alors évidemment, la Golf GTI avec 200 ch sur le train avant était déjà un peu juste en motricité, le phénomène ne s'est pas amélioré sur l'Edition 30. Pas de panique cependant car il faut vraiment aller en tirer la quintessence sur le sec pour être confronté à des pertes d'adhérence. On retrouve ainsi avec plaisir les qualités dynamiques de la Golf GTI sur cette série spéciale. Le châssis est franc et sain et révèle un équilibre étonnant à vive allure. Dès que des grandes courbes se profilent à l'horizon, vous ne pourrez vous empêcher un petit rictus annonciateur de plaisir. Et dans ce genre de situation, l'ESP, semi-déconnectable, se fait très discret. En revanche, sans différentiel autobloquant, et avec son ESP qui revient toujours à la charge, les portions sinueuses un peu lentes deviennent vite un supplice. ESP on, l'auto semble presque s'arrêter dans les enchaînements très serrés tant le gardien électronique corrige, freine et même coupe l'alimentation… En mode Off, il intervient toujours mais à un seuil plus éloigné. Mais cette physionomie n'offre pas à la Golf GTI Edition 30 d'une vivacité suffisante pour être totalement à l'aise, surtout face à une Mégane RS Châssis Cup ou mieux encore R26. Cette dernière fait preuve d'une vivacité étonnante eut égard de son poids. Heureusement la Golf se rattrape par un feeling de direction très agréable et précis. A noter que la Golf GTI Edition 30 frise la tonne et demi, ce qui n'est pas non plus sans incidence sur ses qualités dynamiques dans le serré… Côté freins, on reste toujours un peu sur sa faim notamment en endurance en usage très intensif. Rien à redouter pour tous les jours, mais les amateurs de sorties circuits devront peut être penser à quelques améliorations.



Mai 2006 est caracterisé par l'arrivé de la Golf V GT 170 et le nouveau Cabriolet qui prends désormais le nom de EOS.

La Golf V GT dispose de 2 motorisations : le 2.0 tdi et le 1.4 tsi, tout deux disposant de 170 chevaux.
Le moteur TSI dispose d'une cylindrée de 1,4 l, la combinaison d'un compresseur pour les bas régimes et d'un turbo pour les hauts régimes lui permet de developper 170 ch soit 122 ch/l, ce qui équivaut au moteur V5 de la Golf IV en 2003 (5 cylindres , 2 324 cm3 ,170 ch ). Mais le plus fabuleux, c'est la consommation, seulement 7,2 l pour 170 ch.

Le coupé-cabriolet Eos est développé sur la base de la nouvelle Passat (1.79 mètre de large, 4.41 mètres de long et 1.44 mètre de haut).
Le nom d’Eos est une référence à la mythologie grecque. La déesse Eos, déesse de l’aurore aux doigts de rose, amenait, chaque matin, la rosée du fond des mers sur un char brillant tiré par deux chevaux. Elle annonçait ainsi l’arrivée de son frère Hélios (le Soleil). Son autre frère était Séléné (la Lune). Eos est aussi la mère du vent, des étoiles et de l’étoile du matin.
Belle filiation pour un coupé-cabriolet.

Ce coupé-cabriolet devrait bénéficier de 5 motorisations :
- essence de 85 kw pour 115ch, de 110kw pour 150ch, de 147kw pour 200ch et de 184 kw pour 250 ch.
- diesel avec un TDI de 103 kw pour 140ch.

Au niveau équipements, elle dispose de série de l'ESP, la climatisation, les jantes alliage, les airbags latéraux et frontaux, les vitres électriques…

A noter : Malgré le toit style CC, le coffre dispose d'un volume de 205 litres lorsque le toit est ouvert et de 380 litres lorsque ce dernier est fermé.

Tout cela pour un prix (en Allemagne) de 25 590 €.
L'Eos est commercialisée à partir du 19 mai 2006.

2007: une autre édition nostalgique..

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Rappelez-vous en mai 1983, avant la Golf 2 GTI… La Golf GTI après avoir troqué son 1600 cm3 contre un 1800 cm3 plus confortable que sportif s'est offert une série spéciale Pirelli. Parmi les éléments visibles de l'extérieur réellement différenciant, on notait alors les jantes alu Pirelli avec le " P " stylisé du manufacturier italien sur le voile des jantes. Les pneus étaient évidemment à l'unisson des jantes, c'est-à-dire transalpin. Cette série spéciale a tout de même été vendue et fabriquée pendant une demi année à 10 500 exemplaires. Depuis on avait craint pour la saga Golf GTI avec une Golf 3 et 4 GTI qui laissaient la part belle en performance et sport aux versions 6 cylindres (VR6 puis R32). Avec la Golf 5 GTI, le retour aux affaires sportives s'est avéré payant et réel, et malgré une concurrence très active et acharnée (Mégane RS, Seat Leon Cupra, Audi S3, Mazda 3 MPS, Ford Focus ST), la Golf réussi à rester dans le peloton de tête en raison de sa polyvalence et de ses nombreuses qualités globales, finition et qualité perçue comprise. Après la célébration des 30 ans de la Golf GTI en 2006 avec la version spéciale Edition 30 à la définition figée pour la France (5 portes et boîte DSG imposée), la Pirelli vient à son tour un an après faire parler de la Golf GTI avec un clin d'œil à ses aînées qui avaient alors imposé le mythe et label GTI. Avec sa présentation spéciale et ses 230 ch, la Pirelli enfile ses baskets italiennes pour mieux coller au peloton de tête des GTI et compactes sportives…

DESIGN

La Pirelli, c'est avant tout un look et une présentation spécifique. Tapageur ? Voyante ? Peut être, après tout les goûts et les couleurs, mais il est vrai que cette teinte jaune pale est splendide et semble jouer avec la lumière pour faire varier sa teinte. La couleur attire tellement le regard qu'elle occulterait presque de notre attention le kit carrosserie repris de la version Edition 30 qui accroît quelque peu l'agressivité visuelle de la Golf, et qui surtout a peint ton caisse les plastiques noirs de bas de caisse et de boucliers. Evidemment on notera les jantes spéciales Pirelli en 18 pouces chaussées de pneus Pirelli PZero au look très réussi, mais qui sont en revanche très fragiles et sujettes aux blessures des trottoirs. Un petit logo discret et très classique " Pirelli " est apposé sur la malle arrière. Dans l'habitacle, la surprise est de taille : qui a roulé sur les sièges ?! Le centre des sièges avant et arrière est en effet revêtu d'un tissu imitant des traces de pneus au sol.


Si sur les photos cela pouvait sembler très kitsch, une fois en vrai l'effet est très réussi et original. Et la position de conduite reste toujours aussi excellente. Tout tombe parfaitement sous la main, du pommeau au volant, le pédalier alu est du plus bel effet, tandis que l'instrumentation joue toujours le registre ascète. Même sur cette série spéciale, point d'instruments de bord supplémentaires. C'est bien dommage. L'équipement de série est très complet avec le minimum vital d'aujourd'hui (climatisation, vitres et rétros électriques, fermeture centralisée, radio…) avec la possibilité d'adopter quelques options. De part son gabarit et sa définition, la Golf GTI Pirelli reste un " daily driver " pratique et polyvalent qui a juste cédé aux sirènes du sport.

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MOTEUR
Avec ses cousines qui ont pris les devants en puissance pure (265 ch pour l'Audi S3 Mk2, 240 ch pour la Seat Léon Cupra), il était après tout logique que la Golf GTI puisse elle aussi prendre quelques canassons supplémentaires. De quelques chevaux, il faut plutôt parler de dizaines dans le cas présent puisque de 200 ch, la Golf GTI Pirelli passe à 230 ch à 5500 tr/mn. Ce deux litres à injection directe et turbocompresseur, s'il est mis à toutes les sauces désormais dans la gamme VAG en remplacement progressivement de l'ancien 1,8 litres turbo essence, ne reprend pas tel quelle les éléments des plus puissantes du groupe. On notera ainsi que si la Seat Léon et l'Audi S3 Mk2 partagent bon nombre d'éléments mécaniques commun à commencer par son turbocompresseur Borg Warner K04, la Golf GTI Pirelli conserve un Borg Warner K03 (complétée d'un échangeur air/air) mais dont la pression de suralimentation a été augmentée pour passer à 0,9 bars. Ajoutez à cela une injection directe d'essence et cette mécanique dont le brio n'est plus à démontrer la Golf GTI Pirelli met les chronos à mal : 240 km/h en vitesse maxi (soit +12 km/h par rapport à la GTI " standard "), la borne kilométrique est franchie en 26,2 secondes (-1 sec. par rapport à la GTI) et le 0 à 100 km/h en 6,7 secondes. Heureusement, et malgré les nombreuses qualités de la boîte DSG, il est possible d'opter pour la boîte mécanique à 6 rapports. On retrouve toujours cette sensation parfois un peu floue de guidage, mais dans l'ensemble on peut profiter pleinement de la mécanique en la dirigeant de la main droite. Bien calé dans le siège, on ne peut que louer la disponibilité de cette mécanique ! Quelque soit le régime moteur, le deux litres pousse à chaque instant et surtout n'offre aucun temps de réponse. Et pour un "simple" quatre cylindres, le son est très grisant avec un grognement qui vous prend aux tripes. Certainement un des tous meilleurs du moment avec celui de la Mazda 3 MPS.

CHASSIS

En résumé et pour faire simple, il suffit de prendre une édition 30 avec des pneus Pirelli et vous avez la description du châssis de la GTI Pirelli. A l'adhérence et la typologie propre aux pneus italien près. On retrouve donc toujours cet équilibre et facilité de conduite qui caractérise les Golf GTI, et qui lui permet ainsi d'être conduite rapidement par tous en toute sécurité. D'autant plus que l'ESP est toujours semi-déconnectable et qu'il intervient en situation qu'il juge d'urgence. En clair sur circuit, chaque freinage et transfert de masse sera jugé comme une urgence, du coup, l'urgence est alors de conduire très proprement faute d'être rappelé à l'ordre par la machine. La première limite de ce châssis est la motricité qui est vite mise à mal. C'est déjà le cas sur la GTI 200 ch, mais évidemment, avec 30 chevaux de plus et un couple supérieur, il ne fallait pas s'attendre à des miracles. Autant à allure soutenue et " sport " la Golf GTI Pirelli fait étalage de ses qualités, autant lorsque l'on décide de passer à
la grosse attaque, elle perd de sa superbe. Pas piégeuse, non, mais son efficacité et homogénéité se dégradent, avec en prime des freins moins endurants que ses rivales directes.

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voila vous pouvez compléter cet historique avec fiches techniques et spécifications propres à certaines série limitée. j'actualiserais le premier post en fonction.

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